Weekend des 3 et 4 octobre 2020 dans la forêt du Sidobre

Une MD le samedi et un relais à 3 le dimanche

Ces merveilleuses anecdotes sont narrées par les 3 équipiers de  Cote 66 Equipe 12  dans l’ordre de passage

Christian 12.1

A noter !!! Seul cote 66 est capable de proposer 3 générations sur le terrain en même temps …… !!!

Le samedi matin déjà sur place je rassure la famille jules qui est sur la route. Il ne neige pas, pas encore. (Voir la photo du paysage)

Une petite application météo me signale qu’il pourrait pleuvoir vers 16 h. Donc départ 14h30. Une heure ça devrait le faire !

A noter que le cartographe Léo signale sur les consignes de courses que les rochers de 50 cm ne sont pas représentés. Ceux de 1m50 (on peut voir au-dessus) sont notés en buttes et les autres en noir. Ça donne déjà une image du terrain de nos réjouissances  .Mais bien organisé le club propose une zone, où avec une petite carte, on peut visualiser la réalité grâce à 5 balises.

La CO.

Bel enchainement des postes (si si) et arrivée en 45  min(Dans les trois premiers). Sauf que, dans une sorte d’euphorie, au poste 10 j’enchaine directe sur la 12… (je ne fais pas attention qu’il y a une zone zoomée sur la carte qui m’aurait peut-être évité de court-circuiter la balise 11… la vue baisse l’attention baisse…) et que croyez-vous qu’il arriva ? PM !  Mais j’ai évité la pluie qui est bien arrivée à 16 h.

Dimanche relais

Application météo. Il pourrait pleuvoir vers 12 h .Très bien je me donne 1h30 max avec départ à 10 h

Je me retrouve avec un départ en masse 30 coureurs de 18 ans à 65 ans et moi .Donc au signal la masse était devant. Il faut bien quelqu’un pour guider le troupeau !!

Jusqu’à la balise 7, avec des options différentes, nous sommes 8 à arriver quasiment ensemble. C’est rassurant pour moi. Pour eux ce n’est pas certain ! Mais en descendant quelques bosquets de houx m’ont surement fait dévier plein sud et j’ai bien trouvé un gros bloc rocheux devant moi. Sûr de moi  je te prends l’azimut.la distance et. Rien. Si une balise mais 96 et non 97….je balaye tout autour, je reviens. Je jardine. Et décision, mais trop tard .je redescends sur le sentier, je me recale et je vois un gros rocher…et oui il était à 100 m à l’ouest mais dans la forêt plutôt sombre rien vu. Et ça repart .Balise spectacle. La foule en délire m’applaudit, m’encourage (en fin de compte Karine et vincent frigorifiés) et il reste encore 4 balises  .La forêt déjà sombre devient noire, gros coup de tonnerre et pluie puis orage qui fait que, même en zone dégagée je ne voyais pas les 2 arbres (la 13).la météo s’est donc trompée. Ben non ça fait 2 h que je suis parti.  255 et je passe la carte relais  sous la pluie a Karine qui part a donf pour essayer de nous remettre à flot. Bon le terme n’est pas bien choisi.

Karine 12.2

Samedi

Départ de Perpignan samedi, sous le soleil. Nous roulons tranquillement pour Castres car nous souhaitons y faire la pause déjeuné avant de se rendre sur le lieu de course. La température tourne autour de 15°, le soleil est timide mais présent : mais pourquoi Christian, arrivé sur place la veille, s’obstine-t-il à nous dire qu’il fait froid et humide? Décidément, il est bien frileux ce Christian ! Après un piquenique au soleil, nous quittons Castres pour Lacrouzette, et là en 20 minutes de temps, le ciel s’obscurcit, les températures chutent … euh, finalement, il avait peut-être raison !

Départ en tee-shirt, même pas peur. Je commence mal en cherchant la première balise trop tôt. Je comprendrais plus tard mon erreur : échelle 1/7500 donc 1cm =75 mètres=75 doubles pas bien allongés =35 pas simples. Vivent les maths !

La suite de la course est classique avec un peu de jardinage pour ne pas arriver trop vite et profiter de l’ambiance. La balise 10 est sous un caillou en équilibre, aux dernières nouvelles, il tient toujours.

Aux abords de la 11, un peu perdue, je monte au sommet du point de vue pour me recaler et jeter un coup d’œil sur le paysage. Et c’est là que la pluie arrive, d’abord tranquille puis de plus en plus forte.

Je m’étais légèrement mouillée les pieds à la balise 2 (cuvette), c’est une balnéo à la balise 13.

Dimanche

Faire toute cette attente pour abandonner à la balise 3, quel gâchis.

Par trois fois je suis revenue au parking pour me recaler, j’ai essayé trois chemins différents : pas de balise au bout, je pense que le coureur précédent l’avait emmenée avec lui, il n’y a pas d’autre explication (enfin si, l’autre explication serait que je ne sois pas douée, mais ça, ça se saurait)

Journal de Vincent 12.3 : le dimanche …

Étant chanceux, nous avons eu le droit à une arrivée royale au dépose-minute (c’est censé nous permettre de gagner beaucoup de temps sur le chemin entre le parking et le départ). Cependant, ce petit chemin semble bien long, au point de se demander s’ils n’ont pas créé un détour juste pour pénaliser les « chanceux » comme nous.

Mais pas grave, je pars seulement 3eme donc j’ai tout mon temps et en plus ce trajet commence sous un soleil. Ce qui nous semblait une bonne nouvelle car la météo de la veille annonçait 50% de risque de pluie. La balance penchait donc de notre côté. Mais cela n’était qu’une illusion…

En effet, sur l’aire de départ, les nuages commencent à arriver et la position de 3eme relayeur semble de moins en moins réjouissante. Mais encore une fois ce n’était pas bien grave car Christian devait finir sa boucle dans une petite heure et maman de même…

Et à nouveau, une petite surprise s’imposa à nous : Christian mit presque 2h pour arriver à la balise spectacle alors que le gagnant ne mit que 30min (un léger retard mais insignifiant, vu l’équipe du tonnerre que l’on a, on n’aura aucun mal à le rattraper).

Et là, un grand coup de tonnerre retentit. Mais avec lui, un de ces déluge !!! Grosso modo,  deux catégories de personnes se distinguaient sur l’aire de  départ : les spectateurs qui étaient sous les tentes et les coureurs qui étaient pressés d’aller sous les tentes.

Christian fit parti de la seconde catégorie et arriva 10min après le début de l’orage. Après l’avoir plaint pendant ces 10min, je me retrouvai à plaindre ma mère qui, à son tour, devait prendre le relai. Sauf que quelques minutes plus tard, ils annoncèrent le départ en masse (et donc à mon tour de partir… !)

C’est donc sous la pluie, et dans une forêt trempée que je pris mon départ (autant dire que j’étais plus couvert que d’habitude)

La course commença malheureusement mal : dès la première balise -commune avec maman- je découvris le plaisir de jardiner. Et pour mon plus grand bonheur, cela continua pour la seconde balise.

Mais après cela, ma course fut assez plaisante : des petits azimuts, une belle forêt, des petites erreurs pour pimenter le jeu. Bref je me suis amusé à défaut de faire un bon chrono.

Mais, ça c’était mon impression. Car mon temps était loin d’être mauvais, Il était même excellent : j’ai mis un temps négatif (mon heure d’arrivée est antérieure à mon heure de départ) et j’ai donné du fil à retordre au GEC-man.

Heureusement, pour se remémorer  ce beau week-end, j’ai pu ramener un souvenir : une tique.

 Et pour finir : par Christian

A noter que Stéphane était sur le terrain le samedi mais une obligation professionnelle ne lui a pas permis de faire le relais. Vraiment pas de chance !!!!!!!!!!!!!

On se change. Je ne vois pas pourquoi !!Et après un repas dans le camping-car retour ensemble vers saint esteve sous le soleil. Enfin pas tout à fait .En arrivant vers Leucate une masse nuageuse noire arrive des PO et on termine sous la ?? La ??  Pluie. Il y a des weekends comme ça…

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